Novembre 2013.
La famille qui habitait la Freusière a vendu sa maison à AGO, l'organisme qui gère l'achat-vente des terres pour VINCI.
Dès lors la maison a été saccagée — par des nervis de VINCI ? —, les fenêtres ont été systématiquement cassées, les WC, la plomberie, la cheminée, l'escalier arrachés ; sur le terrain, les chênes et les noyers ont été abattus, le jardin éventré.
Des opposant(e)s l'investissent et font du lieu un nouvel espace occupé.
Un petit chat noir déambule en toute innocence et le dessinateur est glacé par la bêtise qui a présidé à ce saccage.
